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VIVRE À 2 : Libre dans ma tête, libre dans mon cœur

VIVRE À 2 :  Libre dans ma tête, libre dans mon cœur

On dit que lorsqu’on divorce on « retrouve notre liberté ». Pourtant la première fois que je me suis entendu dire « je suis séparée », j’ai plutôt ressenti un inconfort à l’intérieur de moi.

Par Marilyne Petit

Si avec la rupture je retrouvais « ma liberté », cela supposait que je l’avais perdue dans le couple et, qu’en plus, j’avais aussi perdu une « moitié » de moi puisque j’étais maintenant « séparée ». C’est un peu comme si j’avais besoin de la moitié de quelqu’un d’autre pour devenir complète. J’ai alors compris que j’étais séparée de lui, de « ma tendre moitié » comme on dit, mais pas de moi!

C’est dans le processus du deuil amoureux, et avec la reconnexion à soi-même, qu’on retrouve ce sentiment de liberté qu’on croyait perdu. Et si c’était la séparation de la « relation avec soi-même » qui nous donnait l’impression de perdre notre liberté dans le couple? Les clés pour la garder seraient-elles dans le fait d’assumer que je suis « complète » avant, pendant et même après la relation?

Version intégrale du texte dans le numéro où est paru cet article

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