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VIVRE AU QUOTIDIEN...

VIVRE AU QUOTIDIEN...

LE CORPS À LA RESCOUSSE DE L’ATTENTION, Sylvie Ouellet
S’il y a sans doute des milliers de façons de développer notre capacité d’attention, elles ont toutes un point en commun : le corps. Il est un allié de taille grâce à toutes les sensations qu’il perçoit.

Tendre l’oreille…
Voici quelques trucs qui pourront aider à mieux discerner ce que notre corps nous dit :

  1. Décider fermement d’habiter ce corps en conscience. Nombreux sont ceux qui rejettent leur corps ou n’ont pas envie de l’incarner.
  2. Prendre le temps de porter attention aux sensations qu’il nous offre généreusement : un aliment que l’on déguste lentement en observant tout ce qui se passe sur la langue; sentir l’eau qui coule sur la peau sous la douche; porter attention aux sensations du corps qui bouge en dansant ou en marchant….


DÉMARRER L’ANNÉE DU BON PIED
!, Nathalie Guignet
En ce début d’année, nous avons de belles résolutions, encore une fois! Personnellement, je préfère réfléchir à mes intentions plutôt qu’à des résolutions, car cela me  permet de garder une certaine souplesse et de rester à l’écoute de mon corps. Je vous partage mes intentions qui, au fil du temps, sont devenues de précieuses alliées…

CUEILLIR LES CADEAUX DE LA NUIT, Nicole Gratton
Chaque matin, au réveil, le corps est reposé et le psychisme est « rechargé ». C’est principalement dû à l’activité onirique que le sommeil met à notre disposition.  Afin de mieux profiter de la régénération psychique que nos nuits nous procurent, c’est bien de se souvenir de nos rêves pour y cueillir des informations pertinentes sur soi afin de mieux se connaitre, des conseils judicieux pour faire les bons choix ou des avertissements pour éviter des problèmes potentiels.

OÙ SUIS-JE?, Sylvie Guilbault
« Est-ce que j’habite consciemment mon corps? », nous demande Nicole Bordeleau. En état d’auto­hypnose, les gens interprètent souvent qu’ils ne sont plus présents à eux-mêmes!

Mais on peut apprendre à aller dans cet état volontairement en se concentrant sur sa respiration. On peut même s’aider avec l’un de ses sens et se concentrer sur une image, un son, une odeur ou une sensation par exemple. Si le gout est moins évident, j’ai une cliente, Catherine, qui prenait un petit bout de réglisse juste avant une contraction, car ce gout la faisait voyager dans son enfance.

Version intégrale du texte dans le numéro où est paru cet article

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