Aller au menu principal Aller au contenu principal

VIVRE À 2 : Célibataire par choix, par souffrance ou vous avez déclaré forfait?

VIVRE À 2 : Célibataire par choix, par souffrance ou vous avez déclaré forfait?

Achèteriez-vous une paire de chaussures trop petites? Bien sûr que non! Vos orteils ne méritent pas d’être comprimés, ni vos pieds abimés. Pourtant, vous êtes prêt à prendre la première personne qui passe, qui ne vous va pas, pire qui vous fait souffrir, sous prétexte que le célibat fait de vous un paria, voire un être anormalement constitué.

Par Pascale Piquet

 

Amusant qu’au XXIe siècle, le fait d’être célibataire continue à soulever des questionnements sur votre capacité d’être en couple, laissant présager un défaut inavoué ou une vie secrète… 

Comment être cohérent avec soi-même et ne pas céder à la pression sociale? Comment ne pas être frustré par les questions stupides qu’on vous pose ou que l’on se pose sur vous? Peut-on rester célibataire par choix parce que le couple vous a toujours broyé ou encore tout simplement parce que vous n’avez pas encore trouvé chaussure à votre pied?

La sagesse d’attendre la bonne personne
Commencez par comprendre que le célibat, c’est la sagesse d’attendre la bonne personne, quand vous êtes autonome affectivement. Observez, pendant que vous êtes sage, votre entourage qui passe d’une mauvaise relation à une autre, tel Tarzan passant de liane en liane avec, à la clé, la souffrance de la rupture, du deuil et le temps qu’il faudrait pour se « réparer ». 

J’écris « faudrait », car très peu prennent le temps d’autopsier la/les relation(s) pour savoir pourquoi ça n’a pas fonctionné afin de reconstruire la confiance et l’estime effilochées. Ils sautent sur la paire de chaussures suivante, alors que dans les faits, et sur la boite, il est indiqué qu’elle ne sera pas adaptée à leurs pieds : soit, elle fera mal, soit, trop grande, ils la perdront... Que faire alors ?

Version intégrale du texte dans le numéro où est paru cet article

Plus d'articles