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HEUREUX AU BOULOT : Nous sommes faillibles, mais pas faibles

HEUREUX AU BOULOT : Nous sommes faillibles, mais pas faibles

Nous sommes souvent le prophète de notre propre malheur. Comme nous pouvons tous influencer notre mental dans un sens comme dans l’autre, c’est nous et nous seuls qui choisissons. Personne n’est voué à la fatalité.

Par Manon Blondin, Coach en gestion, auteure et conférencière

« L’attitude est une petite chose qui fait toute la différence », a dit un jour Winston Churchill. Il y en a pour qui tout leur arrive… pour le meilleur comme pour le pire!

Vous, êtes-vous en mode fatalité ou créativité?

Nous sommes le maitre d’œuvre
Nous sommes souvent créateurs de notre propre malheur. Que voulez-vous? À force de se dire que cela ne fonctionnera pas, qu’on n’y arrivera jamais, on se conditionne! D’ailleurs, même les athlètes vous le diront : la préparation mentale compte tout autant sinon plus que la préparation physique.

D’où l’arrivée de certaines techniques populaires comme la visualisation permettant de « voir » ses objectifs atteints, la relaxation pour calmer son esprit, les rituels pour recentrer son centre d'intérêt et le fameux mindfulness ou l’art de vivre dans la Pleine Conscience. Toutes ces techniques existent pour aider notre mental à ne pas prendre toute la place, à se concentrer sur les faits et à se donner le recul nécessaire pour ainsi mieux passer à l’action.

Quand le mental s’emballe
De nombreuses raisons permettent au mental de s’emballer : le stress de la vie quotidienne, l’égo avec tout ce que les gens pensent de nous ou la pression que nous nous créons nous-mêmes; l’anticipation de ce qui peut se produire, la projection dans un futur non seulement incertain, mais souvent empreint de scénarios apocalyptiques, etc.

Ça demande une force titanesque pour ramener notre mental là où il doit être, soit dans les faits et le moment présent. Cela requiert aussi de la discipline et de la créativité pour le ramener à bon port. Par où commencer?

Version intégrale du texte dans le numéro où est paru cet article

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