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VIVRE AU QUOTIDIEN : Rêves de Liberté

VIVRE AU QUOTIDIEN : Rêves de Liberté

LA VIE EST SYNONYME D’UNITÉ, par Sylvie Ouellet
Dans la dernière année, nous avons entendu souvent parler de restrictions, de combat et même de guerre pour réussir à circonscrire un virus. Même si l’objectif est fort louable, ces termes, ces idées et ces actions qu’on s’acharne à dé-fendre (fendre deux fois) vont à l’encontre de l’intention réelle. La santé fleurit au cœur de l’unité. La division est une lutte sans fin qui ne nous apportera jamais ce à quoi nous aspirons. Alors, comment faire pour tendre vers le rayonnement de notre liberté, chaque fois que nous voyons poindre la division?

LA CONNAISSANCE EST GAGE DE LIBERTÉ, par Nathalie Guignet
Dans le tumulte de la vie quotidienne, le stress s’installe insidieusement pour finalement faire partie intégrante de notre vie. On ne s’en rend même plus compte. Ce stress nous amène aussi à faire des choix alimentaires qui ne sont pas forcément idéals pour notre corps. Afin de faire face au stress, notre organisme va avoir recours à des stimulants tels que le sucre, le café, l’alcool ou les féculents. Ces stimulants vont venir fouetter notre organisme pour le faire avancer, comme pour un cheval. Mais si je demande un effort incessant à mon cheval, il va tomber. Comment puis-je y remédier? 

RÊVES DE LIBERTÉ, par Nicole Gratton
Que ce soit sur le plan compensatoire, symbolique ou spirituel, les rêves de liberté sont un cadeau de la nuit. Si les journées sont trop contraignantes, nos aventures de nuit nous redonneront l’espace nécessaire pour retrouver cette sensation de liberté si importante pour notre équilibre émotionnel. En compensant le manque d’espace physique ou psychique, les rêves nous offrent des scénarios où tout devient possible. Cette sensation de liberté reste en nous au réveil afin de mieux relever les défis difficiles durant le jour. Comment en tirer le meilleur profit? 

LIBRE DE TOUTE ATTENTE, par Sylvie Guilbault
Dans le même esprit que les propos de Boris Cyrulnik, on peut dire que nous seuls avons la possibilité d’entraver notre liberté intérieure. Suite aux échanges avec des femmes ayant accouché, j’ai observé que leur pire ennemi est l’attente, ou plutôt le fait de rester accroché à une attente. Oui, une femme peut désirer un accouchement naturel, donc sans péridurale, sans césarienne, sans déclenchement, et il est nécessaire d’y penser avant. Moi, qu’est-ce que je veux? Comment je m’y prépare?

 

 

Version intégrale du texte dans le numéro où est paru cet article

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