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DOSSIER : Honorer le Divin en soi

DOSSIER : Honorer le Divin en soi

 

J’ai rencontré la peur de l’échec pour la première fois à l’âge de dix ans. C’était l’anniversaire de naissance de notre directrice d’école et, pour l’occasion, les professeurs avaient sélectionné un.e élève par niveau pour lire un discours devant les 500 étudiant.e.s et le personnel enseignant réunis dans le gymnase. Je faisais partie des élu.e.s.

Par Louise Côté

Au cours des semaines précédant la fête, j’ai répété sans cesse les quelques phrases d’appréciation destinées à celle que je connaissais à peine. J’avais une peur bleue de décevoir les personnes qui avaient mis leur confiance en moi. « Et si elles cessaient de m’aimer… ». 

Réaliser l’impossible, oui! Mais à quel prix?
Mille fois j’ai imploré ma mère de me libérer de cette tâche pour laquelle je ne me sentais pas à la hauteur, mais puisque ma supplication semblait la décevoir, je me suis résignée. Malgré les larmes qui embuaient mes yeux cette journée-là, je crois avoir relevé correctement mon défi. 

S’ouvrir à plus Grand que soi
Ce n’est qu’au cours des 11 dernières années que j’ai vraiment accueilli la dimension spirituelle dans ma vie. La phrase « Honore le divin en toi » est le mantra qui m’accompagne désormais sur le plan personnel et professionnel. Cette simple phrase a banni à tout jamais la peur de l’échec de mon vocabulaire. Voici pourquoi.

À partir du moment où j’ai accepté dans mon cœur l’idée qu’en moi réside une parcelle divine, j’ai osé dire « oui » à ma mission et je me suis mise au service de ce qui est plus Grand que moi. J’ai compris que je n’étais qu’un canal, qu’une courroie de transmission, qu’une voix pour enseigner une voie qui mène à l’augmentation des vibrations individuelles pour plus de conscience et de lumière sur cette Terre.

Version intégrale du texte dans le numéro où est paru cet article

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