Les témoignages ne cessent de se multiplier. Des témoignages faits par du vrai monde, des personnes qui ont vraiment vécu ce dont elles parlent : pertes de poids parfois phénoménales, tension artérielle et taux de sucre dans le sang revenus à la normale; problèmes de côlon irritable, de goutte et de fatigue chronique terminés. Et cette liste pourrait encore s’allonger. C’est sans parler des mères qui témoignent de l’amélioration, à tous les niveaux, de la santé de leurs enfants diagnostiqués TDAH et même autistes. Que peuvent bien avoir en commun TOUTES les personnes qui viennent témoigner? Une pilule miracle?
Par Lucie Douville, Éditrice
Non! Ont-elles toutes été dans une clinique spécialisée? Non! Ont-elles dû voyager à l’autre bout du pays pour être soignées? Non! Ont-elles dû dépenser une petite fortune pour y arriver? Non, non et non!
Elles ont simplement ouvert leur frigo et leur garde-manger pour en retirer les aliments dont le dénominateur commun est à la source de tous les problèmes de santé précités : les glucides.
On s’est tellement fait raconter d’histoires…
Nous vivons dans un monde où le profit domine à tout prix, où les compagnies ont rapidement compris que nous avions une petite dent sucrée facile à exploiter; où les lobbys gagnent leur vie en se foutant complètement de la nôtre en introduisant sur le marché des produits dangereux pour notre santé; où des organisations comme Santé Canada ne jouent absolument pas le rôle de « sonneur d’alarme » qu’elles devraient jouer…
Tout s’est donc lentement, mais surement, mis en place pour que notre alimentation contienne de plus en plus de glucides, sous une multitude de formes, et comme c’est une saveur à laquelle on s’habitue facilement, pendant de trop nombreuses années personne ne s’est opposé, pas même les professionnels oeuvrant dans les univers de la diététique et de la nutrition. Pour preuve, le fameux Guide alimentaire canadien qui nous invite à consommer 300 grammes de sucre (glucides) par jour alors que 50 à 100 grammes seraient plus que suffisants.
Allez, on ouvre le garde-manger!
Donc, quand on comprend qu’on a été entrainé dans la mauvaise direction, qu’aucune organisation extérieure à nous ne pourra jamais nous aider mieux que nous ne pouvons le faire nous-mêmes, alors on ouvre notre garde-manger et on commence à trier!
C’est exactement ce que j’ai fait il y a douze mois de ça! Voilà pourquoi j’ai eu, moi aussi, le gout de témoigner non pas pour parler de ma santé, mais de ce que j’ai changé concrètement dans mon alimentation dans la dernière année. Je ne suis ni médecin ni spécialiste en la matière, je suis juste une femme de terrain et c’est sur le terrain de l’alimentation faible en glucide et riche en bon gras que j’aimerais vous inviter.
Version intégrale du texte dans le numéro où est paru cet article