Quand on rencontre un problème, notre premier réflexe est de chercher à l’extérieur de nous aussi bien la cause de ce problème - «À qui la faute?» - que la solution pour nous en sortir - «Où avez-vous mis la clé?».
C’est la recette parfaite pour tourner en rond, accuser sans raison, s’essouffler, s’épuiser même et qui sait, créer un nouveau problème qui n’était même pas là avant!
Et c’est pas juste ça… Le fait de se projeter ainsi à l’extérieur de soi, comme si ce qui nous arrive ne nous concernait pas, c’est vraiment désagréable à ressentir.
Tant qu’on reste en mode «Problème», c’est comme si on n’était plus totalement là, comme si on pensait juste à moitié, comme si on s’était déserté. Rien pour améliorer la situation dans laquelle on est plongé!
Et que de temps précieux perdu à chercher une clé là où elle n’est pas, tout ça parce qu’on se croit victime de quelque chose qui ne nous concerne pas.
Et pourtant… Il suffirait d’une toute petite rotation de notre perception pour réaliser que notre plus gros problème, ce n’est pas ce qui nous arrive, mais c’est le mode d’emploi qu’on utilise pour le régler.
J’ai le choix de percevoir un problème comme une attaque extérieure qui m’est tombée dessus car j’étais à la mauvais place au mauvais moment OU…
Je peux accepter l’idée que j’étais exactement à la bonne place, au bon moment, et que SI ce qui m’arrive, m’arrive, c’est non seulement parce que ça me parle à moi, mais que j’ai déjà tout ce qu’il faut en moi pour le régler. C’est juste que je n’en suis pas encore consciente!
Une toute petite rotation de notre perception et nous voilà devenus comme faisant partie de la solution. C’est tu pas assez beau ça!
Juste d’y penser, j’ai hâte au prochain problème que je vais rencontrer pour me pratiquer!
C’est la recette parfaite pour tourner en rond, accuser sans raison, s’essouffler, s’épuiser même et qui sait, créer un nouveau problème qui n’était même pas là avant!
Et c’est pas juste ça… Le fait de se projeter ainsi à l’extérieur de soi, comme si ce qui nous arrive ne nous concernait pas, c’est vraiment désagréable à ressentir.
Tant qu’on reste en mode «Problème», c’est comme si on n’était plus totalement là, comme si on pensait juste à moitié, comme si on s’était déserté. Rien pour améliorer la situation dans laquelle on est plongé!
Et que de temps précieux perdu à chercher une clé là où elle n’est pas, tout ça parce qu’on se croit victime de quelque chose qui ne nous concerne pas.
Et pourtant… Il suffirait d’une toute petite rotation de notre perception pour réaliser que notre plus gros problème, ce n’est pas ce qui nous arrive, mais c’est le mode d’emploi qu’on utilise pour le régler.
J’ai le choix de percevoir un problème comme une attaque extérieure qui m’est tombée dessus car j’étais à la mauvais place au mauvais moment OU…
Je peux accepter l’idée que j’étais exactement à la bonne place, au bon moment, et que SI ce qui m’arrive, m’arrive, c’est non seulement parce que ça me parle à moi, mais que j’ai déjà tout ce qu’il faut en moi pour le régler. C’est juste que je n’en suis pas encore consciente!
Une toute petite rotation de notre perception et nous voilà devenus comme faisant partie de la solution. C’est tu pas assez beau ça!
Juste d’y penser, j’ai hâte au prochain problème que je vais rencontrer pour me pratiquer!