Qu’on le veuille ou non, dès la cinquantaine, le corps commence à changer. Le temps nous rattrape. Notre dos peut commencer à se courber un peu. Sans qu’on s’en rende compte au début. Puis un jour, on voit notre silhouette dans le reflet d’une vitrine et on réalise qu’il faut faire quelque chose, sinon le corps vieillit trop vite. Il faut s’en occuper.
Par Jocelyna Dubuc
Pas de panique! Cela ne veut pas dire de se ruer au gym trois heures par jour. Pas du tout! C’est peut-être tout simplement l’heure d’être attentif pour donner à notre corps ce qui lui fera du bien. Et éviter ce qui lui fait du tort. Le gros bon sens finalement. Mais une fois que c’est dit, par où commence-t-on?
Mes trois outils de prédilection
Au fil des ans j’ai évolué, observé, expérimenté et adopté de nombreux outils. Aujourd’hui, les clés de mon bienêtre reposent sur trois outils bien simples.
Connaitre ses émotions
Difficile de se rendre compte à quel point on tourne en rond dans nos pensées. Il existe de nombreux outils pour nous aider à rester dans l’ici et maintenant, nous rapprocher de nous-mêmes et démasquer les mécanismes qui nous emprisonnent.
Développer des approches physiques
Pour éviter d’être toujours en résistance, il est important de développer notre conscience corporelle. D’être conscient de l’état de notre corps. Exécuter des mouvements de danse en passant l'aspirateur, en lavant la vaisselle; danser tout en marchant, ou simplement gouter à l’instant en calmant (enfin!) notre folle du logis!
Manger pour ne pas rouiller!
L’alimentation a toujours été pour moi le pilier le plus important de ma santé. Bien entendu, il n’y a pas de formule magique, pas de formule unique. Essentiellement, si on veut que le corps fonctionne bien, il faut lui donner une nourriture de qualité. Personnellement, au fil des dernières décennies où les connaissances sur l’alimentation ont tant évolué, j’ai fait des choix qui semblent vraiment faire plaisir à mon corps.
Version intégrale du texte dans le numéro où est paru cet article