Si la confiance se muscle, les échecs répétés la minent à coup sûr!
Nous sommes tous responsable de notre «capital-confiance», c’est à dire qu’il ne faut pas attendre que la confiance nous vienne de l’extérieur, vous savez du genre à attendre que l’autre nous dise qu’il est fier de nous, qu’il nous aime, qu’on est beau, fin et gentil… Non! Ça c’était quand on avait 4 ans! Mais on a grandi depuis, non seulement au niveau de notre taille extérieure, mais de notre autonomie intérieure.
Quoique… parfois… on a encore des p’tites tendances à attendre que notre confiance soit nourrie par l’extérieur, mais c’est aussi courir la «chance» qu’elle soit dégonflée par l’extérieur aussi!
Moi je pars du principe que pour tout ce qui est important dans ma vie, rien ne vaut l’autonomie!
C’est à chacun de nous, et à personne d’autre, d’investir dans notre capital-confiance pour le voir fructifier : la p’tite tape dans le dos, les applaudissements devant un bon coup, le «Je suis VRAIMENT fière de toi !», voir même la chaleureuse accolade, on peut tous se le faire à soi-même!
Parmi les trucs, on va choisir plusieurs petites passerelles à traverser plutôt que de miser tous nos efforts sur un grand pont, car si vous êtes comme moi, il m’arrive souvent de me planifier des défis pas toujours évidents à réaliser et donc, je ne les réalise pas, et vlan… la confiance en prend un coup!
La confiance, ça se muscle une petite passerelle à la fois. Et, chaque fois, consciemment, on se félicite chaudement!
Ainsi, de passerelle en passerelle, notre confiance va gagner en force et, le moment venu, c’est elle qui va nous soutenir le jour où nous aurons à traverser notre pont le plus long!
Allez, tout le monde en cœur : on se donne notre première belle p’tite tape dans le dos!
Préférez les petites passerelles aux grands ponts
29 décembre, 2017