Vous et moi sommes une des 7,55 milliards de personnes qui habitent notre belle planète. Pas 2 pareilles! Toutes uniques et différentes. Juste d’y penser ça donne le vertige! Dieu est vraiment doté d’une créativité illimitée!
Et notre belle société, elle, qu’est-ce qu’elle fait de cette différence? Elle essaie de nous faire croire que c’est une tare, que la vie est faite de moules auxquels on doit s’adapter, sinon c’est l’exclusion.
Et ça commence à la naissance : le bébé doit faire ses nuits à, commencer à parler à, marcher à, être propre à… Sinon, il est hors-normes et la maman se culpabilise : «Qu’est-ce que je fais de pas correct?»
Et ça continue durant l’enfance : sitôt assis sur sa chaise à l’école, l’enfant est étudié, évalué, comparé. S’il sort du moule, il existe une armada de solutions toutes moins naturelles les unes que les autres pour le forcer à s’adapter. Faut surtout pas déranger.
Bien entendu ça s’accélère à l’adolescence : la sacro-sainte mode tente d’uniformiser tout ce qu’elle peut toucher. Tout y passe : vêtements, coiffure, maquillage, attitude et cie.
On se doute bien que ça ne s’arrête pas là. Tout au long de notre vie nous serons «invités» à nous conformer : faire un métier reconnu, rien de trop farfelu ; vite se mettre en couple, car le célibat laisse présager que quelque chose ne va pas ; fonder une famille et s’assurer que nos enfants répondent aux critères de conformité.
Et si on vient à divorcer, vite il faut se re-caser car il y a une sorte de croyance diffuse qui s’est instillée dans notre société qui porte à croire que de vivre «seul» ne peut être un choix consenti, mais une punition que l’on subit.
Mais nous sommes nés pour faire une différence… Faut surtout pas l’oublier!
Alors si parfois vous vous sentez comme un extra-terrestre, pas comme les autres, que ce soit au travail, comme parent, enfant, adolescent, en amour, dans votre façon de manger, de vous habiller… FÉLICITATIONS ! Vous êtes sur la bonne voie!
Et notre belle société, elle, qu’est-ce qu’elle fait de cette différence? Elle essaie de nous faire croire que c’est une tare, que la vie est faite de moules auxquels on doit s’adapter, sinon c’est l’exclusion.
Et ça commence à la naissance : le bébé doit faire ses nuits à, commencer à parler à, marcher à, être propre à… Sinon, il est hors-normes et la maman se culpabilise : «Qu’est-ce que je fais de pas correct?»
Et ça continue durant l’enfance : sitôt assis sur sa chaise à l’école, l’enfant est étudié, évalué, comparé. S’il sort du moule, il existe une armada de solutions toutes moins naturelles les unes que les autres pour le forcer à s’adapter. Faut surtout pas déranger.
Bien entendu ça s’accélère à l’adolescence : la sacro-sainte mode tente d’uniformiser tout ce qu’elle peut toucher. Tout y passe : vêtements, coiffure, maquillage, attitude et cie.
On se doute bien que ça ne s’arrête pas là. Tout au long de notre vie nous serons «invités» à nous conformer : faire un métier reconnu, rien de trop farfelu ; vite se mettre en couple, car le célibat laisse présager que quelque chose ne va pas ; fonder une famille et s’assurer que nos enfants répondent aux critères de conformité.
Et si on vient à divorcer, vite il faut se re-caser car il y a une sorte de croyance diffuse qui s’est instillée dans notre société qui porte à croire que de vivre «seul» ne peut être un choix consenti, mais une punition que l’on subit.
Mais nous sommes nés pour faire une différence… Faut surtout pas l’oublier!
Alors si parfois vous vous sentez comme un extra-terrestre, pas comme les autres, que ce soit au travail, comme parent, enfant, adolescent, en amour, dans votre façon de manger, de vous habiller… FÉLICITATIONS ! Vous êtes sur la bonne voie!